Rosario University

Depuis sa fondation une institution «de» et «pour» ses étudiants (l'origine du Collège) Au départ, le Fondateur nomma deux frères dominicains respectivement recteur et vice-recteur, mais il se réserva le droit de nommer le collégial, qui jouirait une bourse complète et vivraient dans le cloître, jusqu'à leur degré, pendant plus ou moins sept ans. Les Dominicains, frères religieux du Fondateur, ont compris le don du Collège dans un sens absolu et ont essayé de l'intégrer comme une autre école dans leur communauté. Le fondateur, contrarié, a procédé à la révocation du don et à la sécularisation du Collège, comme l'a fait en fait le Dr Cristóbal de Araque. De cette manière, la tradition originaire de Bologne, l'alma mater des universités européennes, de l'Universitas scholarium, dans laquelle les étudiants constituaient la base de l'institution, différente de l'Universitas magistrorum, comme celle de Paris, s'est poursuivie en Amérique espagnole. Le modèle d'organisation du Colegio Mayor del Rosario Il est similaire à celui d'un Colegio Mayor de Salamanca (Espagne), également appelé l'archevêque et actuellement Fonseca, qui se traduit par une institution privée, autonome et gouvernée par ses étudiants, le nombre d'écoliers qui , à la manière des boursiers des écoles anglaises, bénéficient de bourses complètes, élisent des directeurs et occupent des postes de responsabilité dans le cloître.